mYamYam

Déjà une bonne nouvelle : j'ai réussi à me connecter à l'admin pour écrire ce post
Euh c'est quoi déjà les balises de paragraphe, retour à la ligne... déjà ??

Alors oui bonjour !
Je pensais que mon déménagement à Versailles et l'acquisition d'une cuisinière de compét' me ferait plus cuisiner et donc mettre plus à jour ce blog, mais je me suis arrêtée à la première étape... Qui sait, peut-être que mon futur déménagement angevin me fera atteindre la deuxième étape !

Pour reprendre en douceur, une recette de pains burgers faite à 4 mains (ouais, j'ai un super commis maintenant !!), vue ici (le lien ne fonctionne plus à l'heure où j'écris, mais ça devrait revenir. Les étapes sont illustrées par des photos, contrairement à ici).
Je me suis mise à Pinterest, à peu près 36 ans après tout le monde, à la base pour trouver des idées de tables basses, mais la rubrique "cuisine" est bien bien bien fournie et fait bien bien bien envie ! Et en plus, comme une nouille, j'ai supprimé mon dossier Cuisine sur Netvibes, donc je ne surveille plus de blogs.

BREF ! Pour 12 pains :

• 40 g de levure fraîche. J'en ai pris au supermarché, c'est peut-être mieux la vraie levure fraiche (en boulangerie)
• 280 ml d'eau tiède
• 80 g de beurre fondu
• 50 g de sucre
• 1 œuf
• 5 ml de sel
• 500 gr de farine
• Dorure : 1 jaune d'œuf mélangé à 1 cuillère à soupe de lait

Dans le bol du robot, dissoudre la levure dans l'eau chaude et ajouter le beurre fondu tempéré et le sucre. Laisser reposer pendant 5 minutes jusqu'à ce que ça bulle. Alors moi je sais pas trop si ça a bullé ou pas. Le beurre fondu était à la surface...
Ajouter l'œuf, le sel et la farine pour former une pâte molle. Pétrir jusqu'à ce que la pâte soit lisse et élastique, environ 3-5 minutes.
Verser la pâte sur un plan de travail fariné pétrir en se farinant bien les mains, jusqu'à ce que ce soit plus trop collant. Former un boudin avec la pâte.
Diviser la pâte en 12 pâtons égaux. On pense que ça va être trop juste, et en fait ça passe !
Façonnage des pains : aplatir légèrement un pâton. Rabattre les bords vers l'intérieur. Bien fermer et former une boule.
Les déposer sur deux plaques de cuisson recouvertes de papier sulfurisé en les espaçant. Si vous êtes forts en maths comme moi, ça fait 6 pâtons par plaque. De rien !
Couvrir et laisser reposer au moins 30 minutes. Bon ben ici, ça n'a pas super levé, peut-être pas assez chaud dans la pièce ou levure pas top ?
Après la levée, dorer les pâtons avec le mélange jaune d'œuf + lait. On a mis des graines de sésame ou de pavot pour faire jouli.
Cuire au four à 220°C pendant 8-12 minutes ou jusqu'à coloration dorée.
Y'a plus qu'à les garnir ! Steak - oignon + tomates + champignons + salade + guacamole + ketchup + comté, dans le désordre pour moi. Le même sans avocat pour Monsieur.

Verdict : pas ultra aérés, mais super bons. Et en fait, les pains industriels pour burger (oui j'avais prévu au cas où) sont compacts aussi. Y'a pas à dire, c'est quand même vachement meilleur fait maison.

En me promenant sur le marché de Versailles, dans un des carrés, je suis tombée nez à nez avec des feuilles wonton (qui servent à faire des raviolis chinois). Je les ai achetées sans trop savoir ce que j'en ferai, mais les idées sont vite venues !

Raviolis d'automne potimarron - champignon
Recette vue ici mais un peu remaniée ; pour le pliage, c'est par là.
Faire une purée avec le potimarron et une ou deux petites patates. Couper les champignons en petits morceaux et faire revenir avec une échalote.
Quand les deux préparations sont prêtes, monter les raviolis avec une couche de purée + une cuillère de champignons. Pour le pliage, cf. lien ci-dessus où vous trouverez des photos illustrant très bien la chose. En revanche, mon résultat est moins joli !

Faire cuire dans de l'eau bouillante, le temps que les raviolis remontent à la surface et que l'ébullition reprenne.

Raviolis chinois en mode Italie pesto rosso - mozzarella
Recette pour l'inspiration ici ; pour le pliage, c'est par là.
Encore plus rapide que la première recette : couper la mozzarella en petits morceaux, ouvrir le pot de pesto rosso. Attention c'est partie : mettre une cuillère de pesto puis parsemer de mozzarella. Changement de pliage, cf. lien ci-dessus où vous trouverez des photos illustrant très bien la chose. Je préfère le rendu de celui-là.

Faire cuire dans de l'eau bouillante, le temps que les raviolis remontent à la surface et que l'ébullition reprenne.

Après cuisson, ce n'est pas très attirant, mais c'est bien bon quand même !
Il faudrait que je teste la version originale : des vrais raviolis chinois !

Non, non vous ne rêvez pas... Une nouvelle recette !! En plus je me suis vachement foulée pour celle-là...

Je n'ai pas ramené grand chose de Cuba, mais je n'ai pas oublié de prendre du rhum ! C'est tellement moins cher qu'ici...
Histoire de ne pas siffler la bouteille nature, je me suis concoctée un p'tit rhum arrangé. Recette trouvée toujours au même endroit !
Ce qui est frustrant, c'est qu'il faut que j'attende trois mois pour goûter... Je le sortirai pour ma prochaine crémaillère.

Pour un bocal de 1 litre :

• Presque 70 cl de Havana Club añejo 3 años,
• 5 clémentines (épluchées, pelées, les quartiers séparés et coupés en deux), je ne sais plus quelle variété j'ai prise, j'ai demandé une variété très goûtue,
• 75g de cassonade,
• 2 bâtons de cannelle.

Mettre tous les ingrédients solides dans le bocal. Recouvrir de rhum. Fermer le bocal. Pis c'est tout.
Enfin presque tout : il faut secouer le bocal tous les jours pendant la première semaine, pour dissoudre le sucre dans l’alcool, puis de temps en temps pendant trois mois.
Rendez-vous dans trois mois pour le verdict !

Edit du 3 mars 2013 : quelques mois plus tard... c'est SU-PER bon !!

Il y a quelques semaines, j'avais une envie de levure fraîche. Comme c'est pas très très bon mangée comme ça, je l'ai utilisée pour faire une brioche (et une pizza aussi, mais ce n'est pas le sujet du jour).
Comme par hasard, je me suis retrouvée sur Beau à la louche devant une recette de briochettes en tourbillon (dernière recette) qui avait l'air bien sympathique. Comme je n'avais ni pâte de pistache, ni cumbava, ni cassis sous la main (ma parole, y'a que des pâtes dans mes placards ??!), j'ai opté pour le salidou offert par Marina et JB quelques jours avant pour mon anniversaire (elle me connaît bien la bougresse :D).
Bien que le salidou déchire tout, ce n'est pas la meilleure idée du monde que j'ai eue. En effet, le caramel c'est liquide quand c'est chaud... Donc ma garniture s'est retrouvée au fond du moule. Bon, ça restait très mangeable quand même, mais c'était perfectible et la texture de la brioche était différente de ce que ma sœur m'oblige à ingurgiter (oui j'suis à plaindre, c'est bien connu), j'ai donc voulu retenté.
Tout ça pour dire que voilà une bonne recette de brioche.

Pour une belle brioche (j'suis fière !)

• 100 ml de lait
• 55g de beurre
• 1 œuf
• 1/2 cuillère à café de sel
• 25g de sucre en poudre
• 260g de farine
• 13g de levure fraîche. Ca c'était pour le 1er essai. Pour le 2e, j'ai pris un sachet entier de levure de boulangerie, ce qui fait trop pour la dose de farine de la recette, mais comme il était périmé, je me suis dit que ça compenserait (pour les gens qui hésiteraient à venir chez moi après ça, ne vous inquiétez pas, je ne prends des """"""risques"""""" qu'avec mon estomac, qui va bien merci pour lui).

Dans un grand saladier, mélanger la farine, le sucre et le sel. Réserver.
Faire chauffer la moitié du lait, y faire fondre le beurre, mélanger. Réserver.
Faire à peine tiédir l'autre moitié du lait. Verser sur la levure fraîche préalablement émiettée dans un bol, avec le sucre. Fouetter pour bien dissoudre la levure. Réserver.
Battre l'œuf dans un bol. Réserver.
Ajouter le beurre fondu, puis la levure et enfin l'oeuf à la farine.
Pétrir la pâte pendant 10 à 15 minutes. Former une boule de pâte, puis couvrir le saladier de papier film et faire lever à l'abris des courants d'air, à côté d'un radiateur un peu tiède (en ce moment ça devrait se trouver !) pendant 2 heures.

Quand la pâte à brioche a levé, la dégazer puis séparer la pâte en 3. Faire un long boudin avec chacune des pâtes, puis tresser tout ça, comme si c'était des cheveux.
Transvaser la tresse dans un moule à cake beurré. Recouvrir de papier film et faire lever 1 heure dans les mêmes conditions que tout à l'heure.

Faire cuire à 200°C ; le temps dépendra de votre four : moi ça a tendance à cramer au bout d'un quart d'heure, donc à surveiller voire recouvrir d'alu si besoin.

TADAAAAAM

Non mais regardez-moi cette texture !!

Le 1er essai...

Ca y est Maman, t'es contente ?????????

Alors là, une super recette, très très très facile à faire, mais pinaise qu'est ce que c'est bon !!
Recette vue chez Beau à la louche, comme par hasard !

Pour 35 à 40 fudges :

• 100g de noix de pécan,
• 250g de chocolat noir dessert à 70% - 70% car j'avais peur que ce soit trop sucré, mais finalement 55% ça doit le faire !
• 200g de lait concentré sucré (et pourtant je n'aime vraiment pas ça !),
• 1 cuillère à soupe d’extrait de vanille ou d'arôme de vanille, on ne va pas faire la fine bouche !

Préchauffer le four à 170°C. Disposer les noix de pécan sur une plaque du four et faire griller une quinzaine de minutes.
Pendant ce temps, faire fondre le chocolat au bain marie. Hors du feu, y ajouter le lait concentré sucré tout en le mélangeant à la maryse et jusqu'à obtenir une préparation homogène.
La préparation va épaissir. Ajouter ensuite l'arôme de vanille et bien mélanger.
Quand les noix sont dorées, les émietter grossièrement puis les incorporer au chocolat.
Mettre une couche de papier sulfurisé dans un moule à cake, puis y étaler la préparation sur une épaisseur de 2 centimètres environ. Lisser la surface et recouvrir d’une autre feuille de papier sulfurisé.
Faire prendre au moins 10 heures au frigo puis détailler en petits dés. Les fudges se conservent bien à température ambiante (faut pas qu'il fasse trop chaud non plus !).

Rhaaa ce goût de noix grillées, miaaaaaaaaaam !!

Comme indiqué dans le billet en dessous, voici une recette de bûche salée. Et ben c'est plutôt pas mal ! Je la préfère d'ailleurs à la version sucrée... Et c'est encore moins compliqué : il n'y a que le biscuit à préparer.
Recette vue également dans le Elle à table de décembre, que j'ai préparée 2-3 heures avant de servir.

Pour le biscuit :

• 80g de sucre,
• 4 œufs,
• 100g de farine,
• 25g de beurre fondu.

Pour la garniture :

• un pot de tarama au saumon fumé,
• de mémoire, 200g de cottage cheese non trouvé donc remplacé par un mélange de boursin / st morêt,
• 6 tranches de saumon,
• Quelques branches d'aneth.

Préparer le biscuit : préchauffer le four à 180°.
Séparer les jaunes d’œufs des blancs. Fouetter les jaunes avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse, puis ajouter la farine et le beurre fondu.
Battre les blancs en neige ferme avec 1 pincée de sel.
Mélanger petit à petit les blancs à la préparation sucrée.
Là aussi, si vous avez la chance d'avoir une Maman équipée, étaler la pâte sur une toile flexipat spéciale biscuit. Sinon, étaler la pâte sur une plaque préalablement recouverte de papier sulfurisé et essayer de former un rectangle...
Faire cuire le biscuit 8 minutes maximum, puis le sortir du four. A ce moment là, je l'ai retourné sur une planche de cuisine en verre, puis j'ai recouvert la toile d’un linge humide. Mais ce n'est peut-être pas très utile quand on utilise ce genre de toile...
Laisser refroidir le biscuit.

Pour la garniture :
Il suffit de mélanger les 2 fromages avec les branches d'aneth "émiettées" (je ne sais pas si le verbe correspond, mais à 23h39 on va dire que ça ira bien comme ça !).

Montage de la bûche :
Démouler le biscuit. Etaler le tarama. Recouvrir des tranches de saumon. Puis étaler le fromage.
Enrouler le biscuit sur lui-même, couper les extrémités (facultatif vu que la toile permet d'obtenir un vrai rectangle).
Réserver au frais.

Ma première bûche ! C'est pas sorcier finalement !! Mais ma préférence va à la bûche salée au saumon que je posterai juste après...
Je me suis très fortement inspirée d'une recette du Elle à table de décembre, j'ai seulement zappé la partie "sirop" et trempage du biscuit, vu que je n'aime pas le biscuit trempé.
Cette recette a été préparée la veille de servir.

Pour le biscuit :

• 120g de sucre + 1 pincée,
• 4 œufs,
• 100g de farine,
• 20g de cacao,
• 25g de beurre fondu.

Pour la mousse :

• 200g de chocolat noir/caramel,
• 40cl de crème fleurette,
• 30g de beurre.

Pour le glaçage :

• 20cl de crème fleurette,
• 200g de chocolat,
• 1 noix de beurre,
• sucre glace.

Préparer le biscuit : préchauffer le four à 180°.
Séparer les jaunes d’œufs des blancs. Fouetter les jaunes avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse, puis ajouter la farine, le cacao et enfin le beurre fondu.
Battre les blancs en neige ferme avec 1 pincée de sucre.
Mélanger les blancs à la préparation chocolatée. De mémoire, là ça fait un peu peur car on se demande comment on va obtenir quelque chose de potable entre une sorte de boule de pâte et des blancs d'œufs à ne surtout pas cassés ! Mais en les ajoutant petit à petit, ça passe !
Si vous avez la chance d'avoir une Maman équipée, étaler la pâte sur une toile flexipat spéciale biscuit (pinaise c'est pas donné en fait !!). Sinon, étaler la pâte sur une plaque préalablement recouverte de papier sulfurisé et essayer de former un rectangle...
Faire cuire le biscuit 8 minutes maximum, puis le sortir du four. A ce moment là, je l'ai retourné sur une planche de cuisine en verre, puis j'ai recouvert la toile d’un linge humide. Mais ce n'est peut-être pas très utile quand on utilise ce genre de toile...

Pour la mousse :
Faire bouillir 10cl de crème avec le beurre. Verser la crème sur le chocolat cassé en morceaux dans un saladier. Remuer pour le lisser et laisser refroidir.
Fouetter les 30cl de crème fleurette restante et la mélanger au chocolat fondu refroidi. Aaah quel bonheur de voir la crème se transformer en consistance épaisse (oui c'est la première fois que je travaillais de la crème fleurette), et mélangée au chocolat, miaaaaam pas calorique du tout !!

Pour le glaçage :
Faire bouillir la crème, puis la verser sur le chocolat cassé en morceaux dans un saladier, ajouter le beurre, mélanger jusqu’à ce que le chocolat soit lisse et laisser refroidir.

Montage de la bûche :
Démouler le biscuit. Etaler la mousse dessus - il m'en restait pas mal...
Enrouler le biscuit sur lui-même, couper les extrémités (facultatif vu que la toile permet d'obtenir un vrai rectangle).
Recouvrir le biscuit du chocolat de glaçage et mettre au frais.

Avant de servir, saupoudrer éventuellement de sucre glace.

Mon biscuit était un chouïa trop cuit, d'où la "rupture"...

Et pour finir les restes de mousse et glaçage, une verrine chocolat de glaçage / fruits rouges / mousse chocolat - caramel :

J'adore manger des hamburgers alors je me suis fait plaisir ce midi... A peu près maison, car entre le pain industriel, le fromage industriel, le steak congelé... peut mieux faire !!
Le "défi" du jour était d'avoir du pain chaud et des steak chauds en même temps !!

Pour 2 hamburgers :

• des pains à burgers,
• 2 steaks,
• 2 échalotes (à défaut d'oignon),
• 2 petites tomates,
• des cornichons,
• 4 tranches de fromage en plastique (cheddar/emmental),
• de la salade (laitue iceberg... en sachet...),
• à défaut de sauce ketchup/moutarde : une sorte de sauce/coulis de tomate en conserve, moutarde à l'ancienne et sucre.

Ciseler les échalotes. Couper les tomates en tranches. Couper les cornichons en tranches dans la longueur.
Préparer la sauce : mélanger la sauce tomate, la moutarde et le sucre. Pour les quantités, c'est selon votre goût : piquant, sucré...
Faire chauffer un peu d'huile dans une poêle pour les steaks.
Le temps que l'huile chauffe, étaler la sauce sur les 4 tranches de pains. Ajouter les cornichons puis recouvrir d'une tranche de fromage. Mettre au four à 180°.
En parallèle de la cuisson du pain, mettre les échalotes dans la poêle. Faire revenir 2-3 minutes puis ajouter les steaks. Saler, poivrer, retourner, saler, poivrer. En moins de 10 minutes ça doit être prêt !
Avant de retirer les steaks du feu, sortir les burgers du four. Couvrir le fromage fondu de tomates et de salade, ajouter un steak avec des échalotes, ajouter des tomates puis recouvrir avec le pain au sésame.
Manger vite avant que ça ne refroidisse !
Pinaise, y'a pas à dire, avec un "vrai" steak (tout est relatif ;-)) ça change tout !!

Pour tester cette courge, je me suis inspirée de la recette de Guillaume Long qui rédige un blog BD/cuisine bien sympathique.

Ce qui est sympa avec cette sorte de courge, c'est qu'en cuisant, elle fait des spaghetti (aaah c'est pour ça...) : la preuve !

Pour 2-3 personnes :

• 1/2 courge spaghetti coupée dans la longueur (j'ai fait l'autre 1/2 en soupe),
• de la chapelure,
• de l'huile d'olive,
• de la crème,
• du fromage râpé,
• sel et poivre.

Couper la courge spaghetti dans la longueur, enlever ses extrémités. Arroser d'un peu d'huile d'olive, saler et poivrer. Mettre au four (dans un plat à tarte pour ma part) à 180° pendant environ une heure.
Vérifier la cuisson en enfonçant la pointe d'un couteau : faut que ça se fasse facilement. Avec une cuillère, racler l'intérieur de la courge... TADAAAAAAM les spaghetti apparaissent (cf. photo ci-dessus) !
Mettre les spaghetti dans un plat à gratin. Ajouter de la crème et du fromage râpé puis mélanger. Saler, poivrer si besoin.
Recouvrir de chapelure puis remettre au four à 180° jusqu'à ce que ça gratine !

Verdict : c'est pas mal, ça change ! A tester en mode carbonara (ben oui c'est des spaghetti !!). Mais bon, ça ne vaut pas ma courge préférée (butternuuuuuuuuuuuuuuut).

Recette trouvée chez Marmiton afin de cuisiner du potimarron.

Pour 4 à 6 personnes :

• 1 pâte feuilletée,
• 100g de lardons,
• 1/2 potimarron,
• 2 œufs,
• 20cl de crème liquide,
• 1 oignon,
• 1 cuillerée bombée de farine,
• Sel et poivre.

Eplucher le potimarron et le couper en dés. Peler et hacher l'oignon. Dans une poêle, faire revenir l'oignon et le potimarron.
Faire dorer les lardons dans une autre poêle et réserver.
Battre les œufs avec la farine et la crème. Saler, poivrer. Y ajouter les légumes et les lardons
Etaler la pâte feuilletée sur un moule à tarte recouvert de papier sulfurisé. Ajouter la pâte.
Faire cuire 15-20 minutes à 220°.

C'était bien bon ! Ca doit être sympa en version purée de potimarron